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Dans ce blog vous trouverez les divagations d'un egocyclomaniaque à travers quelques commentaires et photos des plus belles sorties effectuées sur cet instrument de torture moderne appelé bicyclette.

Et peut-être d'autres billets suivant mon humeur.


jeudi 23 septembre 2010

11 septembre : GPF sur les traces des pros

Ca sent la fin de saison et la motivation  baisse de week-end en week-end. Nous laissons Daniel et Dom se lever aux aurores pour prendre le départ à 7h, salle Marie-Jo Pérec. Avec le Pat et Jim nous partons tranquillement de Jeumont direction Recquignies afin de croiser nos compères matinaux. Dans la descente du bois nous croisons un groupe de coureurs? suivis par le fourgon uvf.  Quand j'écris suivis c'est à cet instant car oil est bien connu que les gaillards sévissent ainsi : la voiture suiveuse ne sert pas seulement à dépanner ou ravitailler mais surtout à se protéger du vent ou s'accrocher en cas de coup de moins bie, toujours facile ensuite de se prévaloir d'une certaine moyenne... Que la région regorgent de ces petits (bon je ne sais pas quoi mettre, petits suffira). Nous croison peu après deux cyclos certainement décramponnés, que la civilité n'étouffe pas et les laissons partir pour redescendre peu après à notre tour.

 Dans la côte du Général de Gaulle à Jeumont nous sommes rejoint par un mini-groupe au sein duquel figurent Dom et Daniel suivis de quatre compagnons. Nous accélérons l'allure, jusqu'au 4 bras où tourant à droite Daniel s'excite quelque peu étirant le groupe déjà éprouvé. Je reprend les rênes dans le vent et au bout de quelques km nous reprenons le duo de tout à l'heure qui s'accroche comme il peu.

A Solre le Chateau, une pause s'impose et chacun en profite pour reprendre des forces. C'est la pagaille pour repartir :ceux qui ont sucé emmènent comme des dingues et Dominique regrette d'être parti avec l'uvf.
Pas grave tout ça, nous attendons et le groupe se reformera au fil des km et des bosses qui surgissent après Clairfayts, Saint Herman est difficile pour le groupe partis de Fourmies, la barre des 100 est franchie et les km commencent à peser .

Après Trélon, l'ambiance se détend l'arrivée est proche mais il faut toujours se farcir ce maudit vent, et les 4 ou 5 bosses finales qui font la joie perverse des organisateurs, curieux à l'arrivée de savoir si tout le monde a bien souffert sur ce passage. Pour ma part, les crampes sont revenues, mais il va falloir retourner à Jeumont sur un parcours pas exempt de bosses. Fort heureusement le vent sera plus favorable; Toujours est-il que certains ne se posent pas la question, attablés en terrasse dans le centre de Fourmies.

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